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L'histoire de l’enregistrement sonore au Québec et dans le monde (1878-1950)

Discipline: Communications
Parution: 03 décembre 2003
  • Nb. de pages:
    248

Description

Coincée entre les puissantes machines culturelles américaines et françaises, l'industrie du disque québécois, contre toute attente, a non seulement survécu mais prospéré dans un environnement hostile presque impossible à percer. Il a évidemment fallu une dose de «bonne fortune», le dynamisme de certains visionnaires, producteurs et artistes, et surtout l'indéfectible attachement de toute une population pour ses artistes.
Au début du XXe siècle, Berliner et Columbia pressèrent et distribuèrent au Canada des enregistrements réalisés un peu partout dans le monde. Quelques artistes québécois furent enregistrés à New York ou en Europe, mais il ne se fit pas de production locale avant la fin des années 1910. Jusqu'en 1950, Compo fut la seule compagnie établie au Canada qui n'appartenait pas à des capitaux étrangers. Et ce n'est que dans les années 1940 qu'un vedettariat local, stimulé par la radio, permit l'éclosion et la viabilité de nouvelles compagnies francophones.
Dans ce volume, il est question de commerce, de jeux de coulisses, de rapports de force et de compétition avec les autres formes de spectacle, de l'impact des cultures sur le développement de l’industrie du disque au Québec, de l'évolution des techniques d'enregistrement et de reproduction sonore, de la manière dont elles ont influencé le répertoire, la façon de chanter, le choix des interprètes et des arrangements musicaux.
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