Sexualité, mariage et famille au XVIIIe siècle
Parution: 15 juillet 1998
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Nb. de pages:
396
Description
Quel était l'effet des moeurs libertines sur les valeurs familiales ? Comment la littérature clandestine ou autorisée de l'époque représentait-elle les diverses formes de la sexualité ? Notre image traditionnelle de la femme et de la mère au dix-huitième siècle a-t-elle été modifiée par les recherches récentes ? Les nouvelles attitudes envers la sexualité se font-elles entendre dans l'éducation ? Voilà quelques questions que les auteurs se sont posées : leurs réponses constituent une lecture stimulante et parfois surprenante.
Venus de plusieurs pays européens, des États-Unis et du Canada, les auteurs tâchent de répondre aux questions soulevées ces dernières années par la réévaluation des attitudes envers la sexualité, le mariage et la famille au dix-huitième siècle. Ces trois thèmes ont engendré des réflexions sur des sujets aussi variés que le libertinage, l'homosexualité, le mariage clandestin, le statut de la femme, la maternité et l'éducation. Crébillon, Madame de Charrière, Diderot, Marivaux, Berquin et Riballier font l'objet d'études détaillées. Rousseau reçoit une attention toute particulière, ce qui offre de nouvelles perspectives tant sur le plan de son roman La Nouvelle Héloïse que de son traité pédagogique l'Émile.
Venus de plusieurs pays européens, des États-Unis et du Canada, les auteurs tâchent de répondre aux questions soulevées ces dernières années par la réévaluation des attitudes envers la sexualité, le mariage et la famille au dix-huitième siècle. Ces trois thèmes ont engendré des réflexions sur des sujets aussi variés que le libertinage, l'homosexualité, le mariage clandestin, le statut de la femme, la maternité et l'éducation. Crébillon, Madame de Charrière, Diderot, Marivaux, Berquin et Riballier font l'objet d'études détaillées. Rousseau reçoit une attention toute particulière, ce qui offre de nouvelles perspectives tant sur le plan de son roman La Nouvelle Héloïse que de son traité pédagogique l'Émile.
