François Bellenger. Seigneur de l’Islet-de-Bonsecours

François Bellenger. Seigneur de l’Islet-de-Bonsecours

Discipline: Histoire
Parution: 20 juillet 2010
  • Nb. de pages:
    470
François Bellenger, pionnier de la Nouvelle-France, s’établit dès 1634 à Beauport pour ensuite habiter Château-Richer et L’Islet-de-Bonsecours. De son union avec Marie Guyon en 1637 naîtront 12 enfants, à l’origine de l’une des lignées les plus prolifiques au Canada. Maçon de métier et agriculteur, François Bellenger fut aussi syndic adjoint, co-seigneur de Beaupré, marguillier, capitaine de milice, évaluateur foncier, homme d’affaires, seigneur de L’Islet-de-Bonsecours. L’auteur décèle à travers ces postes de responsabilité publique un projet de vie orienté vers la promotion sociale. Il reconsidère également la fonction de la seigneurie perçue par les historiens comme une entreprise de colonisation, de services, d’oppression du seigneur sur les colons et de relations humaines inégalitaires. Il y voit plutôt, sur une longue durée, un processus d’affranchissement de contraintes inhérentes au système seigneurial.

Description

Prix Percy Foy 2010 pour le meilleur ouvrage de recherche généalogique ou d’intérêt généalogique
Préface de
Réal Bélanger
François Bellenger, pionnier de la Nouvelle-France, s’établit dès 1634 à Beauport pour ensuite habiter Château-Richer et L’Islet-de-Bonsecours. De son union avec Marie Guyon en 1637 naîtront 12 enfants, à l’origine de l’une des lignées les plus prolifiques au Canada. Maçon de métier et agriculteur, François Bellenger fut aussi syndic adjoint, co-seigneur de Beaupré, marguillier, capitaine de milice, évaluateur foncier, homme d’affaires, seigneur de L’Islet-de-Bonsecours. L’auteur décèle à travers ces postes de responsabilité publique un projet de vie orienté vers la promotion sociale. Il reconsidère également la fonction de la seigneurie perçue par les historiens comme une entreprise de colonisation, de services, d’oppression du seigneur sur les colons et de relations humaines inégalitaires. Il y voit plutôt, sur une longue durée, un processus d’affranchissement de contraintes inhérentes au système seigneurial
.
Revenir en haut