Ceci est une alerte:

Horaire des Fêtes | Nos bureaux seront fermés du 22 décembre 2025 au 2 janvier 2026 | Commandes en ligne | Les livres commandés au plus tard le 8 décembre 2025 seront livrés avant Noël; les livres commandés à partir du 9 décembre 2025 seront livrés à partir de la mi-janvier 2026 | Toute l’équipe des Presses de l’Université Laval vous souhaite un heureux temps des Fêtes et vous offre ses meilleurs vœux pour la nouvelle année!


Aux sources du psychédélique

Aux sources du psychédélique

Discipline: Histoire
Parution: 15 mai 2008
« Dans un monde où la nou velle drogue est la consommation à outrance des virtualités du cyberespace électronique, Aux sources du psychédé lique est un livre important qui nous rappelle que les premiers visionnaires d’une conscience planétaire écologique ont été les hippies des années soixante. On y apprend également que l’expérience psyché délique a donné naissance aux premiers “human-be-in”, où l’art canalisait le vertige d’être ensemble à partager la joie de vivre. À cette époque, il n’y avait pas d’écran entre les humains solitaires tentant de se brancher sur les satellites de l’informatique. Dans les “communes”, on entrait directement en communication par la chair et par l’esprit. On se branchait sur l’infini. On prenait le temps d’être. “Vivre et laisser vivre” était un principe humanitaire et sacré. »
Tiré de la préface de Raôul Duguay

Description

« Dans un monde où la nouvelle drogue est la consommation à outrance des virtualités du cyberespace électronique, Aux sources du psychédé lique est un livre important qui nous rappelle que les premiers visionnaires d’une conscience planétaire écologique ont été les hippies des années soixante. On y apprend également que l’expérience psyché délique a donné naissance aux premiers “human-be-in”, où l’art canalisait le vertige d’être ensemble à partager la joie de vivre. À cette époque, il n’y avait pas d’écran entre les humains solitaires tentant de se brancher sur les satellites de l’informatique. Dans les “communes”, on entrait directement en communication par la chair et par l’esprit. On se branchait sur l’infini. On prenait le temps d’être. “Vivre et laisser vivre” était un principe humanitaire et sacré. »
Tiré de la préface de Raôul Duguay
Revenir en haut