History of the Outaouais
Parution: 27 mai 1997
- Dirigé par :
- Collection:
-
Nb. de pages:
864
Description
Traduit de la version française
En 1796, je suis arrivé à Montréal, au Canada, pour explorer le pays, étant déterminé à changer ma résidence au Canada, ayant une famille nombreuse à prévoir ... J'ai alors vu le pays des deux côtés du Saint-Laurent, la totalité de la distance de Québec jusqu'à ce que j'arrive à la rivière des Outaouais ou le Grand, dans le canton de Hull, prendre le temps d'explorer et d'examiner le pays, mais plus particulièrement les zones limitrophes aux deux côtés de la rivière des Outaouais ou le Grand; j'ai également étudié la rivière a dit que égards, il Navigation, avec les avantages et les inconvénients qui fréquentent un établissement nouveau dans ce pays. Cette partie du pays a d'immenses ressources en bois fine, non seulement marchand mais pour faire Ashes, suffisantes pour fournir les approvisionnements grands pour un marché étranger, même à charge de 1000 navires. Cette partie du pays est inconnu ou impensé de par les habitants de Montréal, à l'exception de la Compagnie du Nord-Ouest dont l'intérêt semble être de garder le dit pays dans l'état puis unihabited .... Trouver cet endroit pour être le plus avantageux pour faire une place du dépôt de mes préoccupations générales, en raison de l'accès facile à la communication de l'eau le long de la rivière, et l'arrêt en raison du portage, je pensais à dépenser beaucoup d'argent dans le défrichement et de construction, connaissant sa situation locale ne serait pas concurrencée par une, avec deux grandes rivières qui se jettent dans la rivière des Outaouais près de cet endroit, le Gateno du Nord, et le Rideau du Sud, et généralement un bon pays environnant. Toutes ces choses étaient flatteuses même de surmonter la sensation désagréable de penser que je était de 120 miles de toutes les affaires, et 80 km de tout règlement, mais j'étais déterminé à utiliser tous les efforts qui était en mon pouvoir, avec l'espoir et l'attente pleine qu'à une époque future, il serait devenu une seconde Montréal .... Philemon Wright, «Esquisse de la première colonie sur la rivière des Outaouais ou le Grand», 1824. © Tous Droits réservés aux Presses de l'Université Laval.
En 1796, je suis arrivé à Montréal, au Canada, pour explorer le pays, étant déterminé à changer ma résidence au Canada, ayant une famille nombreuse à prévoir ... J'ai alors vu le pays des deux côtés du Saint-Laurent, la totalité de la distance de Québec jusqu'à ce que j'arrive à la rivière des Outaouais ou le Grand, dans le canton de Hull, prendre le temps d'explorer et d'examiner le pays, mais plus particulièrement les zones limitrophes aux deux côtés de la rivière des Outaouais ou le Grand; j'ai également étudié la rivière a dit que égards, il Navigation, avec les avantages et les inconvénients qui fréquentent un établissement nouveau dans ce pays. Cette partie du pays a d'immenses ressources en bois fine, non seulement marchand mais pour faire Ashes, suffisantes pour fournir les approvisionnements grands pour un marché étranger, même à charge de 1000 navires. Cette partie du pays est inconnu ou impensé de par les habitants de Montréal, à l'exception de la Compagnie du Nord-Ouest dont l'intérêt semble être de garder le dit pays dans l'état puis unihabited .... Trouver cet endroit pour être le plus avantageux pour faire une place du dépôt de mes préoccupations générales, en raison de l'accès facile à la communication de l'eau le long de la rivière, et l'arrêt en raison du portage, je pensais à dépenser beaucoup d'argent dans le défrichement et de construction, connaissant sa situation locale ne serait pas concurrencée par une, avec deux grandes rivières qui se jettent dans la rivière des Outaouais près de cet endroit, le Gateno du Nord, et le Rideau du Sud, et généralement un bon pays environnant. Toutes ces choses étaient flatteuses même de surmonter la sensation désagréable de penser que je était de 120 miles de toutes les affaires, et 80 km de tout règlement, mais j'étais déterminé à utiliser tous les efforts qui était en mon pouvoir, avec l'espoir et l'attente pleine qu'à une époque future, il serait devenu une seconde Montréal .... Philemon Wright, «Esquisse de la première colonie sur la rivière des Outaouais ou le Grand», 1824. © Tous Droits réservés aux Presses de l'Université Laval.
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